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L’idée de mettre en œuvre un dépistage des troubles de l’acuité visuelle, m’est venue en observant une photo d’une classe d’élèves de Yenzuva Secondary School. Sur environ cinquante élèves, aucun ne portait de lunettes, alors que dans la même tranche d’âge, en France, une dizaine d’enfants en auraient porté. Il m’a donc paru que ceci nécessitait une opération de dépistage des élèves ayant un trouble de l’acuité visuelle et par la suite de corriger ce handicap, ce qui pourrait certainement favoriser la réussite scolaire.

Une première étape en 2012

En 2012 nous avons eu la chance de recueillir la candidature de trois jeunes volontaires : Charlotte, Nicolas et Victor pour une mission à Yenzuva. La mission qui s’est déroulée en juillet 2012 a consisté en trois principales actions : peindre l’école primaire, faire un reportage sur l’alimentation en eau de boisson et faire un dépistage des troubles de l’acuité visuelle au moyen d’une échelle de Monoyer. 570 élèves ont bénéficié de ce dépistage dans différentes écoles de Yenzuva. Ce dépistage avait permis d’identifier une dizaine d’élèves souffrant de troubles importants de l’acuité visuelle, et d’autres ayant un déficit plus limité, qui auraient pu aussi bénéficier de mesures de correction au moyen de lunettes.

Dépistage des troubles de l’acuité visuelle au moyen d’une échelle de Monoyer

Les premières mesures avaient consisté à informer les élèves eux-mêmes, leurs familles et les enseignants, qui avaient pris en compte le handicap en positionnant par exemple les élèves les plus touchés au premier rang de la classe.

Nous avons bien sûr envisagé de faire faire un examen, par un spécialiste, de la dizaine d’élèves les plus touchés par le déficit, afin de corriger leur trouble le plus efficacement possible, mais Yenzuva se trouve à 3H de route de Nairobi et nous envisageons de faire venir un spécialiste lors de notre prochain déplacement.

Depuis que s’est-il passé ?

  • En France, nous avons reçu des lunettes par l’intermédiaire de membres de l’association et les avons conservées, en vue de les transporter lors d’un prochain déplacement.
  • Au Kenya, Br John MUSYOKI, le coordonnateur de nos actions, a contacté des spécialistes pour mettre en place l’intervention de l’un d’entre eux, sur place, afin d’examiner les enfants.
  • Plus récemment nous avons eu une proposition d’une maman d’élèves d’une école primaire de la Haute Garonne, pour un recueil de lunettes de jeunes enfants et nous avons bien sûr donné un avis favorable.

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